Pour rappel, Five est donc un long métrage poétique iranien, sans acteurs ni voix off, constitué de 5 plans.
Dans le plan que l'on pourrait considérer comme le climax du film, un bout de bois tente désespérement de s'accrocher à un bout de plage.
L'équipe revient sur le tournage épique qui a rendu cette séquence inoubliable.
Plus d'infos sur wikipedia :
Geoff Andrew dit du film qu’il est « plus que juste de jolies images […] ; réunies dans l’ordre, elles contiennent une sorte de trajectoire narrative abstraite et/ou émotionnelle, qui oscille entre la séparation et la solitude et la communauté, entre le mouvement et le repos, entre le quasi-silence et le bruit et les chants, entre la lumière et l’obscurité puis à nouveau la lumière, finissant sur une note de renaissance et de régénération50 ». Plus loin, Andrew signale le degré d’artifice caché derrière l’apparente simplicité du langage figuré.
Ouf, ça me fait bien plaisir de voir que Guillaumzed peut prendre de nouveau du temps pour poster sur monstransit ! c'est une bonne nouvelle :)
RépondreSupprimerMy pleasure :-)
RépondreSupprimerMais ça me fait plaisir aussi de vous lire, et même en vacances à Nice. (faut dire qu'il pleuvait)